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Avec une épouse Saviésanne, des enfants en tout début de scolarité obligatoire et une possibilité de travailler en Valais dans son domaine, «c’était le moment ou jamais de revenir », se souvient le Dr Lionel Arlettaz, au sujet de son arrivée à l’Hôpital du Valais en 2012. Dans un premier temps, il partage son activité entre un cabinet en ville et l’hôpital. « J’y tenais au début, car je souhaitais conserver une certaine diversité. Le travail d’allergologue à l’hôpital est différent de celui en cabinet. À l’hôpital, on…
« J’ai d’abord entrepris un apprentissage de monteur-électricien à Sierre avant de passer une vingtaine d’années entre le téléréseau et Sierre-Energie, où je travaillais à l’éclairage public », détaille David Perruchoud. Arrivé à l’Hôpital du Valais en août 2011, après avoir répondu à une annonce pour un responsable technique à l’Institut Central, il admet avoir eu « beaucoup de chance. Je suis curieux, j’aime apprendre. J’ai postulé, car ce poste était fait pour moi, il fallait être électricien et pouvoir gérer une équipe.…
Anaïs entame tout de même le cursus de l’école infirmière et trouve sa voie lors d’un stage en psychiatrie, au pavillon du Laurier, à Malévoz. « Après ce stage, j’étais certaine de mon choix ». Au terme de ses études, la jeune Valaisanne de Nendaz postule à la Clinique romande de réadaptation de la Suva et également à l’Hôpital du Valais qui l’engage et lui fournit son premier « vrai » travail. « Pour le début de ma carrière, je trouvais important de rester dans le canton», explique Anaïs. «Se réinventer une vie ailleurs…
A partir du 1 er avril 2013, la calprotectine dans les selles sera effectuée par le laboratoire des analyses spéciales de Sion 1x/semaine. Pour tout renseignements complémentaires, merci d’appeler le 027/603.48.65.
A partir de janvier 2013, les 3 voies fonctionnelles du complément (CH50, APL et MBL) seront effectuées par le laboratoire des analyses spéciales de Sion 2x/mois. Le test fonctionnel de la voie classique (CH50) peut être demandé seul si celui-ci est coché spécifiquement (lors de suivi de lupus par exemple). Dans le cas contraire, les 3 voies fonctionnelles seront effectuées ensemble. Le prélèvement de choix est du sérum (monovette brune de sang natif). Pour tout renseignements complémentaires, merci d’appeler le…
Infirmière de formation, Laura Ortiz passe aujourd'hui une bonne partie de ses journées devant un écran d'ordinateur. Infirmière référente du « dossier patient informatisé » (DPI) à Sierre, elle oeuvre avec ses homologues de tout l'Hôpital du Valais à l'amélioration continue de ce dossier. « Le projet a débuté à Sion en 2002 et à Sierre, en 2003, nous étions le second site à nous y mettre. On m'a dit que cela devait durer six mois », se souvient-elle. « Il s'agissait de lancer les équipes et les former au dossier informatisé…
« Un jour, mon premier chef est rentré des États-Unis où il avait vu une installation automatisée pour les échantillons », se souvient Marie-France Rudaz, technicienne-cheffe en analyses biomédicales à l'Institut Central. « Il nous parlait d'un petit train qui amenait les échantillons d'un appareil d’analyse à un autre. Cela nous avait bien fait sourire… » Aujourd'hui, la réalité a rattrapé la fiction et l'Institut Central dispose d'un tel automate depuis l'automne 2010. « Lorsque j'ai commencé, en 1988, nous manipulions de…
« Partout où il y a de la vie et où les gens veulent être indépendants, je peux agir », assure Laura Dischinger, ergothérapeute à l'Hôpital du Valais depuis 2007. « Notre travail est d'aider les personnes de tout âge, handicapées ou limitées dans leur autonomie, à justement retrouver un maximum d'autonomie dans leur vie quotidienne ». Qu'il s'agisse de rééducation après une fracture du col du fémur, ou de maladies liées à la vieillesse, l'ergothérapeute saura trouver le moyen, par des exercices ciblés, des activités ludiques…
Employé du service technique de l'Hôpital de Sion depuis 5 ans et demi, Patrick Berclaz sourit à l'évocation de ses premières semaines de travail : « Durant les deux premiers mois, j’étais à la limite de laisser tomber », se souvient-il. « Le milieu hospitalier, ce n'était pas trop mon truc. Je ne supportais pas l'odeur de l'hôpital, peut-être en raison de mon enfance, durant laquelle j'y ai fait plusieurs longs séjours. Mais je ne pensais pas avoir autant de mal à m'habituer ». Aujourd'hui, ces premiers temps difficiles…
« On me dit souvent que j’ai du courage de travailler ici. Les gens pensent toujours qu’il y a des « fous » à Malévoz », s’amuse Elsa Maria, employée de maison depuis six ans aux Institutions psychiatriques du Valais romand . « Mais ici, il y a des patients, et on les soigne. Pour moi, il y a bien davantage de “fous” à l’extérieur… » Arrivée du Portugal peu après son mari, voilà sept ans, rien ne destinait Elsa Maria à travailler dans un hôpital, encore moins psychiatrique. « J’ai appris qu’une place se libérait alors que…